« Faucon pèlerin au loin dans la brume de chaleur. Comme souvent dans ces cas-là, je dessine trop grand. Il est petit, trop petit, dans l’oculaire de ma longue-vue. Je le peins pourtant en grand sur ma feuille de trente par quarante centimètres. Conséquence habituelle, je m’agace de ne pas voir sur mon faucon tous
Blog
Structuré par le terrain
Garder la brèche ouverte
« Faucon pèlerin au loin dans la brume de chaleur. Comme souvent dans ces cas-là, je dessine trop grand. Il est petit, trop petit, dans l’oculaire de ma longue-vue. Je le peins pourtant en grand sur ma feuille de trente par quarante centimètres. Conséquence habituelle, je m’agace de ne pas voir sur mon faucon tous
Sédimentation
Ça, c’est un côté de la Norvège que j’adore : on prend le bateau comme on prend le bus et en une heure-et-demi, on passe du pas de sa porte à un petit coin perdu au fond d’un fjord, sans avoir eu à prendre sa voiture. Le bateau vous dépose au pied des montagnes, sur
Chrono – logique
Le temps a cela d’étrange qu’il s’écoule à sa guise, variant selon les circonstances. Il est 21h00. Dans ce petit village coincé au fond d’un fjord, je claque la porte de la voiture et attaque la montée. Il est déjà tard. J’espère arriver sur place avant les nuages… Bientôt minuit. Je suis dans mon duvet,